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Allergies saisonnières, surcharge mentale et cette pression invisible qui me coupe de moi

Depuis quelques jours, quelque chose en moi sonnait l’alarme.

Un stress diffus.

Une fatigue plus lourde que d’habitude.

Et ce matin, cette sensation familière : la pression dans mes sinus.


Chez moi, les allergies saisonnières ne ressemblent pas à ce qu’on imagine.

Pas de nez qui coule. Pas d’éternuements.

Mais une lourdeur dans le visage. Un brouillard mental.

Et chaque année, autour de cette même période, ça revient.


Cette fois, j’ai eu envie de ne pas juste subir.

J’ai eu envie de plonger.

D’écouter vraiment ce que mon corps voulait me dire.


Et ce que j’ai découvert, je l’ai raconté dans le dernier épisode de mon podcast.

C’est un épisode sans filtre, enregistré en plein cœur de ma traversée.

Un moment brut, sincère, vivant.


Je parle de cette pression qui m’empêche de canaliser comme d’habitude.

De cette lourdeur dans ma tête qui crée un flou dans mes guidances.

Comme si, au-delà de l’inflammation physique, mon canal était lui aussi saturé.

Comme si mon corps disait : "Il y a trop de pensées, trop de choses à porter. Il faut que ça sorte."


Et puis j’ai fait le lien.

On est en pleine saison du Gémeaux.

Une énergie d’air, de mots, de mouvement mental incessant.

Et chaque année, je remarque que mes allergies réapparaissent précisément là.

Comme si l’agitation extérieure réactivait quelque chose en moi.

Comme si mon corps me murmurait : "Tu veux respirer, mais tu ne t’autorises plus à ralentir."


Alors je me suis assise.

J’ai fermé les yeux.

Et je me suis offert une séance à moi-même, comme celles que je propose en accompagnement.


Et là, dans ce silence, une phrase est montée :

"Pourquoi tu ne prends plus le temps d’écouter ton corps ?"


Puis, presque aussitôt, l’émotion.

Une tristesse immense.

Et cette petite Roxane, sous pression, qui attendait qu’on la voie.


Ce que j’ai rencontré ce matin, ce n’était pas juste une congestion.

C’était une mémoire. Une fatigue accumulée.

Un trop-plein non exprimé.

Et cette vieille croyance que pour mériter d’être aimée, il fallait être sage, douce, en contrôle.


Alors j’ai laissé sortir.

Et j’ai prononcé à voix haute, pour elle et pour moi :



Je m’autorise à vivre dans la joie.

Je m’autorise à vivre sans pression.

Je me pardonne. Je m’aime.

Je m’autorise à vivre dans l’imperfection.




Dans ce nouvel épisode, je te partage tout ça.

Sans script, sans masque.

Parce que c’est aussi ça, être capitaine de son navire :

S’arrêter au milieu de la tempête.

Et décider de s’écouter pour vrai.



Et peut-être que, toi aussi, tu as un espace en toi qui attend d’être allégé.

Peut-être que ton corps te parle, autrement.


 
 
 

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