Les cadeaux derrières les 5 blessures

On parle souvent des blessures de l’âme comme des trucs à guérir, des ombres à dépasser… Mais parfois, guérir, ce n’est pas effacer, c’est accepter la force que cette blessure t’a donnée. Parce qu’au final, ces blessures ne sont pas juste des poids, elles sont aussi des tremplins. Ça on en parle pas assez!

 Rejet → Sensibilité et connexion aux mondes subtils

Si t’as la blessure du rejet, t’es souvent un électron libre, quelqu’un qui ressent tout très fort, parfois trop. Mais cette ultra-sensibilité, c’est aussi ton super-pouvoir : tu captes des énergies, des ambiances, tu sens ce que les autres ne voient pas. Guérir, ce n’est pas chercher à être "comme tout le monde", c’est accepter ta finesse de perception et ton unicité.

 Abandon → Empathie et amour inconditionnel

T’as connu le vide, l’absence, alors t’as développé une capacité rare : celle d’être profondément présent·e pour les autres. T’as une chaleur qui rassure, une écoute qui fait du bien. Guérir, ce n’est pas "devenir indépendant·e à tout prix", c’est reconnaître que ta capacité à aimer est un don immense, et apprendre à te l’offrir aussi à toi-même.

 Humiliation → Humilité et bienveillance

Quand on a cette blessure, on a appris à se faire tout petit·e, à ne pas déranger. Mais en vrai, ça t’a donné une qualité magnifique : une profonde bienveillance, une capacité à accueillir l’autre sans le juger. Guérir, ce n’est pas "se montrer à tout prix", c’est accepter que ta douceur et ton humilité sont de vraies forces.

 Trahison → Leadership et courage

Si t’as été trahi·e, tu sais ce que c’est de devoir compter sur toi-même. Ça t’a rendu fort·e, capable de trancher, d’agir sans attendre l’approbation des autres. Guérir, ce n’est pas "faire confiance aveuglément", c’est reconnaître que ton instinct et ta capacité à prendre les devants sont des forces précieuses.

 Injustice → Sens de l’équité et intégrité

T’as développé un radar à ce qui est juste ou pas. T’as une rigueur naturelle, un sens de l’ordre et de l’équilibre. Guérir, ce n’est pas "être plus flexible et laisser passer les choses", c’est accepter que ton engagement pour la vérité et la justice est un cadeau pour ce monde.

 Guérir, c’est aussi accepter sa propre lumière

On pense souvent que guérir une blessure, c’est s’en débarrasser. Mais parfois, c’est juste la voir autrement. Comprendre que derrière la douleur, il y a une force. Accepter que ce qui nous a fait souffrir est aussi ce qui nous a construit·e.

Alors… Quelle force es-tu prêt·e à reconnaître en toi aujourd’hui ?